Home Dossier presse [INTERVIEW] The World Standard ont rendu hommage aux pâtisseries françaises à Japan Expo ! (Fr & Eng)

[INTERVIEW] The World Standard ont rendu hommage aux pâtisseries françaises à Japan Expo ! (Fr & Eng)

by LucileMusique

[Interview available in English on the second page]

À l’occasion du 18ème impact de Japan Expo, l’équipe de CKJ s’est rendue à Villepinte comme nous vous l’avions annoncé peu avant le festival. Japan Expo, ce n’est pas seulement de la programmation musicale dont on vous parle, c’est aussi pour nous l’occasion de rencontrer les artistes lors d’interviews. C’est aujourd’hui le compte rendu de la table ronde avec les 5 membres du groupe The World Standard, ainsi que leur ingénieur son Manaka Suzuki, que l’on vous propose. Comme le concept de leur groupe l’indique, les filles ont répondu aux questions en plusieurs langues, à savoir en japonais, en chinois, en coréen, en anglais mais aussi en français pour certaines.

Est-ce que chaque membre pourrait se présenter ?

Ruka Mishina : Je vais me présenter en coréen, je m’appelle Ruka Mishina. Prenez bien soin de moi. [en coréen]
Nanase Hirokawa : Je suis enchantée de tous vous rencontrer, je m’appelle Nanase Hirokawa. J’ai 18 ans.  [en anglais]
Hazuki Sakamoto : Bonjour, je m’appelle Hazuki Sakamoto. J’ai 18 ans, je suis étudiante en français. Enchantée. [en français]
Ririka Kodama : Bonjour ! Ravie de faire votre connaissance. Mon nom est Ririka Kodawa. J’ai 16 ans. J’étudie l’anglais. [en anglais]
Miri Matsuda : Bonjour, je suis Miri Matsuda. J’ai 17 ans. Enchantée. [en chinois]

Qu’est-ce qui vous a motivé à devenir des idols ? Qu’est-ce que cela signifie pour vous ?

Miri Matsuda : J’ai vu des idols dans un anime et c’est comme ça que je m’y suis intéressée. Pour moi être idol ça signifie recevoir du courage, mais aussi en envoyer à nos fans. Donc j’aimerais transmettre ceci à travers nos danses, nos musiques et les réseaux sociaux.
Ririka Kodama : En regardant la télé, je suis devenue fans de quelques actrices et j’ai voulu devenir idole grâce à tout ce que je voyais à la télévision. Je suis donc allée dans une école pour devenir idol, et ainsi donner du rêve à mes fans.
Hazuki Sakamoto : J’ai participé à des auditions, et c’est ainsi que je suis devenue idol. J’aimerais aussi donner du courage et du rêve à mes fans.
Nanase Hirokawa : À l’origine, j’étais intéressée par la musique et la danse. J’étais fan des Cheeky Parade et c’est pour ça que je suis devenue idol. Pour moi, être idol c’est aussi transmettre la culture japonaise, la culture kawaii et anime, et je veux donc propager cette culture à travers mes activités.
Ruka Mishina : Au début, je n’étais pas vraiment intéressée par une carrière d’idol, mais quelqu’un m’a invité à participer à des auditions, j’ai donc participé et j’ai finie par être acceptée ; c’est comme ça que je suis devenue idol. Du coup, être idol représente un don pour moi, on offre quelque chose à quelqu’un d’autre à travers le chant et la danse.

Vous connaissiez-vous avant de fonder The World Standard, ou vous êtes-vous connues au moment de la formation du groupe ?

Miri Matsuda : Avant de former le groupe, nous étions stagiaires et nous nous connaissions un peu. On faisait quelques lives ensemble, et on s’entendait bien déjà à l’époque.

Vous êtes un groupe qui se revendique en phase avec notre ère numérique. Comment marquez-vous votre différence avec les autres groupe d’idols de notre époque ?

Nanase Hirokawa : Nous étudions l’anglais, le chinois, le français et le coréen pour pouvoir poster [dans ces langues] sur les réseaux sociaux. Envoyez-nous vos photos [de nous] sur notre compte Twitter et nos autres réseaux sociaux.

Comme vous l’avez indiqué précédemment, et comme le revendique votre concept, vous êtes très connectées et proches de vos fans sur les réseaux sociaux. Est-ce que vous pensez-vous que ça apporte une relation privilégiée entre vous et vos fans ?

Ruka Mishina : Grâce aux réseaux sociaux, les fans nous apprennent beaucoup de choses, et on peut apporter beaucoup à nos fans aussi ! Du coup, on a l’impression que nos sentiments sont partagés et que nous sommes proches. Donc, oui, les réseaux sociaux nous rapprochent de nos fans.

Japan Expo accueille des idols depuis plusieurs années maintenant, et le public a tendance à changer : on voit notamment plus de femmes et une tranche d’âge plus large, avez-vous ressenti ça dans votre public ?

Ruka Mishina : Comme notre concept est kawaii, on a beaucoup de femmes parmi nos fans. À peu près la moitié de notre public est féminin durant nos concerts.

Vous vous êtes maintenant produites en live dans plusieurs pays, qu’est-ce que ça vous fait d’avoir des fans à l’étranger ?

Ririka Kodama : Avant de réellement débuter, nous sommes restées au Japon, mais après nos débuts nous sommes allées dans différents endroits comme Shanghai, Singapour, Taïwan, la Thaïlande et maintenant nous sommes en France. Concernant les fans, l’atmosphère est différente entre les fans à l’étranger et les fans au Japon. À chaque fois, c’est un réel plaisir pour nous de découvrir des fans à l’étranger.

Miri Matsuda, vous êtes fans de l’équipe de baseball Hiroshima Toyo Carp et vous avez récemment chanté pour l’ouverture d’un de leurs matchs dans un stade, qu’avez-vous ressenti à ce moment-là ?

Miri Matsuda : Je ne pensais pas être capable de faire ça, et j’étais vraiment très stressée parce que c’est complètement différent de ce que je fais avec les Wasuta habituellement. C’est aussi la première fois que je chantais devant autant de monde, plus de 30 000 personnes étaient présentes dans le stade. J’ai vraiment adoré cette expérience. Les fans de Hiroshima Toyo Carp ont des tenues et des accessoires rouges, et en regardant le public j’ai vu une grande étendue de rouge et j’ai trouvé ça vraiment magnifique.

Vous êtes donc toutes très douées dans une langue étrangère, était-ce une passion avant ou avez-vous travaillé une fois le groupe formé pour propager la culture japonaise au travers différents pays dans le monde ?

Hazuki Sakamoto : On a appris les langues étrangères après avoir formé le groupe The World Standard, parce qu’on voulait vraiment transmettre ce concept kawaii à travers le monde. C’est comme ça que nous en sommes arrivées à apprendre différentes langues étrangères.

Où trouvez-vous l’inspiration pour vos clips et vos musiques ?

Manaka Suzuki [Ingénieur son du groupe] : Je puise mon inspiration dans la vie quotidienne, lors des moments où nous sommes tristes ou bien heureux. Je retranscris directement ces sentiments-là dans mes chansons. Cela peut sembler un peu bizarre pour les autres, mais c’est comme ça que je vois les choses quand j’écris des chansons.

Parmi tous les tournages de clip que vous avez fait jusque-là, quel est le meilleur souvenir que vous gardez ?

Miri Matsuda : Celui qui m’a le plus marqué, c’est le premier clip que nous avons tourné “The World Standard : Ultra Mirakurukuru Final Ultimate Chocobeam“, dont le thème était les RPG. Nous avons utilisé pas mal d’animations, et pendant tout le tournage on avait un fond vert, ça nous a marqué. Comme c’était notre tout premier clip, cela marquait aussi une véritable nouveauté pour nous.

Nanase Hirokawa : Pour moi, c’était “The Perfect Idol“, car habituellement nous avons des tenues plutôt pastels, et là nous avions des tenues en noir et blanc. En plus de cela, nous avions des coiffures extravagantes et du maquillage un peu décalé, c’était vraiment amusant de filmer ce clip.
Ririka Kodama : En ce qui me concerne, le tournage de “Inu Neko. Seishun Massakari” m’a marqué car nous avons filmé ça avec nos fans. Au début, on pensait que les clips devaient montrer seulement les membres du groupe, et ça nous a donné une expérience vraiment nouvelle. En plus, on a diffusé en direct le tournage du clip, les fans ont pu voir ce que ça donné en live et cette impression de travailler main dans la main avec les fans a été une nouvelle expérience.

Le clip de “Just be yourself” a été tourné à la verticale, est-ce pour s’adapter à l’ère numérique et au format téléphone ? Pourrons-nous retrouver des clips originaux à l’avenir, comme du 360° par exemple ?

Manaka Suzuki : En ce qui concerne les clips, ce n’est pas vraiment nous qui nous en occupons. On a un groupe qui se rassemble et qui essaie de voir ce que les Wasuta aimeraient dans leur prochain clip. Comme j’ai beaucoup aimé “Just be Yourself”, et les autres personnes qui ont vu le clip aussi, je pense qu’à l’avenir il est possible que nous tournions à nouveau des clips de ce style.

En ce qui concerne le clip “The Perfect Idol”, à première vue cela peut faire penser au côté négatif du monde des idols. Quelle est la vraie interprétation des paroles et du clip ?

Manaka Suzuki : C’est effectivement le côté négatif que l’on montre. J’ai l’impression que parfois les idols sont forcées dans leur carrière, et j’aimerais que ce soit l’inverse, qu’elles soient heureuses de chanter et de danser. Il y a donc bien cette idée-là derrière la chanson et le clip “The Perfect Idol”.

Cette année, deux de vos membres Hazuki Sakamoto et Nanase Hirokawa, ont participé à l’animation du stream  Nico Nico Dōga sur le Senbatsu Sousenkyo des AKB48. Êtes-vous fans de ce groupe et avez-vous voté pour une membre en particulier ?

Hazuki Sakamoto : J’étais très heureuse d’avoir été sélectionnée pour animer cet évènement, et j’ai même acheté le livre AKB Sounsenkyo pour travailler sur ça. Dans ma tête, AKB48 c’est les idols les plus représentatives de cet univers. Je continue à l’heure actuelle de beaucoup travailler pour en découvrir plus sur ce monde-là.
Nanase Hirokawa : Je suis vraiment étonnée qu’on me pose la question ! (rires) J’aime de tout concernant les idols, que ce soit les SKE48, NMB48 ou AKB48. Je suis très envieuse parce que les AKB ont beaucoup de succès à l’étranger, comme en France ou à Shanghai, et j’aimerais aussi que l’on devienne des idols comme elles. Après, j’aime aussi les Nogizaka46.

Vous avez donc été stagiaires ensemble avant de débuter en tant que groupe, avez-vous toujours rêvé d’être idol ou aviez-vous un autre rêve en étant plus jeune ?

Ruka Mishina : Je n’aurais jamais pensé devenir idol un jour. Je faisais beaucoup de hip-hop et de danse, mais je ne pensais pas finir dans le monde des idols, même si j’aimais beaucoup les AKB48 aussi.
Ririka Kodama : Moi j’étais intéressée par le monde des médias, et à la base je voulais devenir actrice. Mais quand j’étais à l’école, on m’a poussé à passer les auditions ; j’ai finalement réussi et c’est ainsi que je suis devenue idol.
Nanase Hirokawa : J’adorais vraiment les idols et je voulais moi-même en devenir une. J’étais donc très contente quand j’ai passé l’audition avec succès. Je trouve que les idols sont multi-tâches, que ce soit du chant, de la danse ou même du mannequinat. Je pense qu’on est au final toutes très heureuses d’exercer ce métier-là aujourd’hui.

Vous avez tenu un concert dans la célèbre salle du Zepp Diver City en avril dernier, ce qui a marqué un grand pas en avant dans votre carrière, quelle serait la prochaine étape pour vous concernant une autre salle japonaise ?

Ruka Mishina : Pour le moment non, mais à l’automne nous allons donner 9 concerts dans différentes villes du Japon, et cela va continuer au printemps et pendant l’été. C’est vrai qu’on aimerait donner un concert dans une salle plus grande que celles où nous avons joué jusque-là.

En parlant d’animation, seriez-vous intéressées pour faire du doublage un jour ?

Nanase Hirokawa : Nous avons fait l’opening de l’anime PriPara, et ça nous a beaucoup influencé. J’ai trouvé que les voix des personnages de cet anime étaient très très mignonnes, nous avons donc discuté de cela entre nous. Du coup en ce qui concerne le doublage, pourquoi pas un jour ?

Japan Expo, c’est un évènement qui rassemble beaucoup d’univers comme le manga, les jeux vidéo ou encore l’animation et la musique. Parmi tout ce que propose Japan Expo, que préférez-vous chacune ?

Ruka Mishina : Moi je préfère les jeux vidéo et les animes, et parmi les animes j’adore vraiment Sword Art Online.
Hazuki Sakamoto : Moi j’aime beaucoup les animes pour enfant comme Doraemon, connu aussi en France, et Chibi Maruko-chan qui passe à la télévision [au Japon].
Nanase Hirokawa : J’aime aussi les animes, et surtout L’Attaque des Titans, que je regarde en boucle. Je suis impressionnée qu’ici à Japan Expo des cosplayeurs ont des drapeaux à l’effigie de cet anime.
Ririka Kodama : On a déjà fait des lives avec des reprises de musiques d’anime, comme sur les scènes Ichigo et Karasu pendant le festival, et c’est quelque chose que l’on aime beaucoup faire.

Quel est votre anime préféré dans le cadre du projet “Animé 100” ?

Ririka Kodama : J’adore l’anime Chibi Maruko-chan, qui passe encore à la télé japonaise aujourd’hui. Et j’essaie donc d’être souvent à la maison pour pouvoir le regarder à la télévision.
Nanase Hirokawa : On aime tous la licence Pokémon, et son personnage emblématique Pikachu, puisqu’on est toutes passées par là. Mais sinon personnellement j’aime beaucoup Cardraptor Sakura, et j’aimerais que tout le monde regarde un jour cet anime.

Hier, vous avez participé au concert Animé 100 avec Umi-Kuun et Kamitsuki, avez-vous aimé partager la scène avec des artistes d’un style différent du vôtre ?

Nanase Hirokawa : On était vraiment très heureuses de pouvoir participer à cet évènement avec différentes personnes, et le public a aussi été vraiment différent. Cela a été pour nous une bonne occasion de présenter notre groupe. C’est vrai qu’on a déjà collaboré avec d’autres artistes différents de nous, comme lors du Tokyo Game Show qui se passe dans la capitale du Japon, et nous avions chanté et dansé sur scène aux côtés d’artistes complètement différents de notre univers.

The World Standard
Kamitsuki
Umi-Kuun

Comment percevez-vous le public français par rapport aux autres publics, ou même par rapport aux fans japonais ?

Nanase Hirokawa : On trouve que les fans en France sont très gentlemen. Même pour les séances photos, les fans nous ont salué et remercié, parfois même en japonais, en nous regardant droit dans les yeux. Ça nous a vraiment fait plaisir.

Pour cette venue à Japan Expo, cela vous a-t-il aidé d’avoir une membre qui parle français ? Avez-vous posé des questions à Hazuki Sakamoto pour vous aider à communiquer avec les fans ?

Hazuki Sakamoto : J’ai un peu animé les lives en français, j’étais vraiment contente que les fans réagissent et comprennent ce que nous avons dit. Même dans le cadre de discussions, j’ai pu sortir quelques mots en français et j’étais très heureuse d’avoir pu utiliser ici la langue que j’apprends au sein de The World Standard.

Aimeriez-vous avoir la possibilité de refaire des concerts en France, mais en dehors de Japan Expo ?

Nanase Hirokawa : Pour le moment, on a pas encore pour projet de donner des concerts hors Japan Expo en France, mais on est vraiment heureuses d’avoir pu rencontrer les fans français, et on aimerait donc redonner des concerts ici, Japan Expo ou non. On voudrait que les fans nous attendent avec impatience !

La culture kawaii n’est pas encore très répandue en France, est-ce que vous auriez des conseils pour les personnes qui aimeraient s’épanouir dans ce genre de style ? 

The World Standard : Notre concept est “le standard mondial“, d’où notre nom The World Standard, Wasuta. Nous sommes un groupe d’idols japonaises qui présente l’univers kawaii au monde, alors nous faisons la promotion de la culture kawaii sur les réseaux sociaux. Nos vêtements sont très kawaii ! Et nos chansons aussi. C’est une musique mondiale.

Le concept kawaii régit votre groupe, mais en dehors de The World Standard, est-ce que ça a un impact sur vos vies personnelles et quotidiennes ?

Ruka Mishina : Dans la vie privée, nous sommes habillées plus dans des tons noirs et blancs, des couleurs plus sobres, et je ne pense pas qu’on intègre vraiment le concept de The World Standard dans nos vies privées.
Nanase Hirokawa : C’est presque impossible d’avoir des tenues aussi extravagantes dans la vie privée, mais j’aime bien les accessoires mignons. Par exemple en France, on a trouvé pas mal de magasins qui vendent des accessoires très kawaii, et j’ai acheté une bague avec un requin dessus. De manière générale, j’aime les choses qui sortent un peu de l’ordinaire, comme les motifs en rapport avec la nourriture. On aime bien les motifs sushi, ou encore le pain comme nous portons sur nos tenues actuellement. Dans nos vies privées, ce sont donc plus des accessoires kawaii que nous portons.

Selon vous, qui est la plus kawaii du groupe ?

Nanase Hirokawa : Ce n’est pas très sympathique ! (rires)
Ruka Mishina : Quand on regarde nos clips, on a l’occasion de vraiment observer les autres membres du groupe. À chaque fois je les trouve très mignonnes, et ça me rend presque un peu triste. (rires)
Nanase Hirokawa : Comme notre concept est kawaii, je trouve toutes les membres très très mignonnes. Des fois, sur Twitter par exemple, quand les filles changent de photo de profil, je les enregistre immédiatement sur mon téléphone. Je prends aussi des photos des filles pendant qu’elles mangent et je mets tout ça dans un petit fichier spécial sur mon téléphone. (rires)

Vous avez justement du pain et des pâtisseries sur vos tenues, que préférez-vous comme pâtisserie sur ce que vous portez ?

Ruka Mishina : Je veux manger du pain français. [en coréen] Mon préféré est la baguette.
Miri Matsuda : Sur nos tenues, on a toutes déjà un pain que nous avons mordu, alors on peut voir nos traces de dents. (rires) Au niveau des pains, on en a des tout doux et moelleux, et on adore les toucher, mais il y en a aussi des très durs.
Ririka Kodama : J’aime le pain français. [en anglais]
Hazuki Sakamoto : Je voudrais manger des pâtisseries avec de la crème d’amande, j’en ai déjà mangé et c’est très bon. [en français]
Nanase Hirokawa : Croissant, le numéro un ! [en anglais]

Dans les paroles de la chanson “Yuumei ni, Nyaritai“, vous dites que vous aimeriez vous balader dans Paris et aller voir Mona Lisa. En avez-vous eu l’occasion ?

Hazuki Sakamoto : Non, malheureusement on a pas encore eu le temps de lui rendre visite, mais on aimerait vraiment lui serrer la main très très fort. (rires)

Quels sont vos prochains projets ?

Ririka Kodama : Je veux devenir la personne la plus active et la plus sexy du monde. [en anglais]
Hazuki Sakamoto : Notre objectif est de faire des concerts dans beaucoup de pays. Je suis en train d’étudier les langues étrangères et je veux promouvoir le Japon.

Pour conclure, pourriez-vous adresser un message à votre public français ?

Hazuki Sakamoto : Nous sommes le standard mondial, Wasuta ! Nous sommes très heureuses de venir en France. Nous voulons faire de notre mieux pour venir en France et faire un concert en solo. Merci de votre soutien. Merci beaucoup ! [en français]
The World Standard : Merci beaucoup !

Merci au groupe pour leur gentillesse ainsi qu’à leur staff pour le temps accordé,
et à l’organisation de Japan Expo pour la mise en place de cette table ronde

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